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1.
Québec; INESSS; 9 mars 2021.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1150887

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés dans le contexte de la crise sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Bien que les constats reposent sur un repérage exhaustif des données scientifiques publiées, l'évaluation de la qualité méthodologique des études et une appréciation du niveau de preuve scientifique par paramètre clinique d'intérêt, le processus ne repose pas sur une méthode systématique ni une validation externe selon les normes habituelles à l'INESSS. Par ailleurs, les positions ne découlent pas d'un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle crise de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données, qu'elles soient de nature scientifique ou contextuelle, susceptibles de lui faire modifier cette réponse. MÉTHODOLOGIE: Questions d'évaluation Comparativement aux standards de soins, est-ce qu'un supplément de vitamine D, chez les personnes ayant ou non une déficience ou une insuffisance, est efficace et sécuritaire pour, prévenir l'infection et les manifestations cliniques de la COVID-19? Traiter les patients (adulte, enfant, femme enceinte) COVID-19 confirmés dont l'état à l'amorce n'exige pas une hospitalisation? Traiter les patients (adulte, enfant, femme enceinte) COVID-19 confirmés dont l'état à l'amorce exige o une hospitalisation sans le recours à une oxygénothérapie; o une hospitalisation avec le recours à une oxygénothérapie non invasive (oxygène à faible débit, à haut débit, ventilation mécanique non invasive); o une hospitalisation avec le recours à une oxygénothérapie invasive (ventilation mécanique invasive, ECMO)? Quelle est la position des sociétés savantes, des agences règlementaires, des agences de santé publique et des agences d'évaluation des technologies en santé sur l'usage d'un supplément de vitamine D dans la prévention et le traitement de la COVID-19? Type de revue de littérature: Revue rapide. RÉSULTATS: ÉTAT ACTUEL DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES. Données cliniques sur l'efficacité de la supplémentation en vitamine D dans le contexte de la COVID-19. Depuis l'instauration en mars 2020 de la recherche systématique en continu de la littérature scientifique sur les médicaments à visée thérapeutique, 42 027 notices ont été recensées dont 113 études cliniques où l'intervention étudiée portait sur la vitamine D. De ce nombre, 3 ECRA [Murai et al., 2021; Castillo et al., 2020; Rastogi et al., 2020] ont été retenus. Ces études sont décrites ci-dessous en fonction du type de prise en charge, soit la prophylaxie pré/post-exposition, ou le traitement de patient dont l'état de santé requiert ou non une hospitalisation. Seuls les paramètres d'intérêts sur l'évolution de la charge virale, l'amélioration ou la résolution des symptômes ou d'évolution clinique, le pronostic, l'innocuité ou la mortalité sont présentés. Supplémentation en vitamine D en prophylaxie: En date du 24 février 2021, aucun ECRA ni aucune étude observationnelle publiés n'ont été retracés par la recherche de la littérature scientifique sur les bénéfices cliniques associés à l'usage de vitamine D en prophylaxie pré- ou post- exposition au SARS-CoV-2. Par contre, il y a quelques essais cliniques actuellement enregistrés sur le site de ClinicalTrials, dont un essai comparatif à répartition aléatoire multicentrique à triple insu (PROTECT6 ) en cours de réalisation au sein de deux hôpitaux du Québec. Le principal objectif de cet essai est d'étudier les effets prophylactiques d'une supplémentation à hautes doses de vitamine D3 per os (bolus 100 000 UI suivi de 10 000 UI par semaine pendant 16 semaines) chez les travailleurs de la santé exposés à la COVID-19. Il est prévu que l'essai se termine en juin 2021. DISCUSSION: Au terme des travaux, il ressort qu'aucun ECRA ni aucune étude observationnelle publiés dans la littérature ne permettent d'évaluer l'effet d'une supplémentation en vitamine D utilisée en prophylaxie pré- ou post- exposition au SRAS-CoV-2 ni dans le traitement des sujets COVID-19 confirmés dont l'état n'exige pas une hospitalisation. Toutefois, en ce qui concerne les personnes atteintes de la COVID-19 dont l'état de santé requiert une hospitalisation, l'état actuel des connaissances scientifiques suggère qu'une supplémentation en vitamine D3 ne permet pas de réduire la durée d'hospitalisation et le nombre de nouveaux sujets ayant besoin de ventilation mécanique invasive et ne permet pas d'établir un lien en une supplémentation en vitamine D et les admissions aux soins intensifs ou la mortalité. Un supplément en vitamine D3 à raison de 60 000 UI par jour pendant 8 ou 14 jours, chez des personnes ayant une déficience en vitamine D, pourrait cependant permettre d'augmenter la proportion de sujets avec une négativation de la RTPCR sans toutefois avoir d'impact sur la durée moyenne avant la négativation de celle-ci. Il est toutefois important de souligner que les trois ECRA ont été réalisés sur des populations distinctes, hospitalisées pour une COVID-19 de sévérité variable, et avec différentes posologies et formes de vitamine D3 (calcifédiol ou cholécalciférol). Les profils d'innocuité et d'interactions médicamenteuses de la vitamine D sont aujourd'hui bien connus dans plusieurs contextes extérieurs à la COVID-19 [Euro-Pharm International Canada, 2018; Vifor Pharma, 2018]. Fondé sur 2 ECRA à double insu conduits au Brésil et en Inde dans le contexte de la COVID-19, la supplémentation de vitamine D3 à haute dose semble sécuritaire lorsque cette dernière est administrée en prise unique ou de manière quotidienne pendant une durée maximale de 14 jours chez des sujets adultes atteints de la COVID-19 et hospitalisés. Dans tous les documents consultés présentant des positions ou des recommandations cliniques, aucune organisation ne se prononce en faveur de l'usage de la vitamine D en prévention d'une infection par le SARS-CoV-2 ou comme traitement d'une telle infection en dehors d'un essai clinique, en raison d'une insuffisance de preuves. Compte tenu des risques potentiels d'effets indésirables, un suivi régulier des personnes recevant des doses de vitamine D supérieures à 4 000 UI par jour est également recommandé. Cette réponse rapide de l'INESSS comporte certaines limites qui méritent d'être soulignées. D'abord, l'analyse du niveau de preuve scientifique est basée sur 3 études primaires de type ECRA, elles aussi, empreintes de biais et de limites méthodologiques (y compris des déséquilibres dans les caractéristiques des sujets, dans la puissance statistique et dans les posologies et formes de vitamine D3 utilisées) affectant la confiance envers les résultats actuellement disponibles. Par ailleurs, le manque de résultats ne permet pas de conclure quant à d'éventuelles différences d'efficacité entre des sujets à différents stades de la maladie ou avec des niveaux de vitamine D différents au début des études (taux normal, insuffisance, déficience). Enfin, les constats ne découlent pas d'un processus de consultation élaboré. À la suite de l'analyse effectuée, la tendance pointe vers une absence de bénéfice de la supplémentation en vitamine D ayant 2021-03-08 15:16 22 un réel impact sur l'évolution clinique ou la mortalité liée à la COVID-19. Il faudra toutefois attendre les résultats d'ECRA supplémentaires dont la qualité méthodologique sera jugée acceptable avant d'infirmer ou confirmer une absence de bénéfices. L'efficacité et l'innocuité d'une supplémentation en vitamine D sont présentement évaluées dans plusieurs études cliniques en cours, soit en prophylaxie, chez des patients non hospitalisés ou chez des patients hospitalisés9 . En demeurant à l'affût de nouvelles données scientifiques, cette réponse rapide permet d'informer les professionnels de la santé et de les soutenir dans leur prise de décision clinique dans le contexte de la pandémie actuelle.


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/prevention & control , Pneumonia, Viral/drug therapy , Vitamin D/administration & dosage , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/drug therapy , Technology Assessment, Biomedical , Cost Efficiency Analysis
3.
Buenos Aires; IECS; 2 dic. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1140939

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: La pandemia de COVID-19 está afectando a miles de millones de personas en todo el mundo. Hasta la actualidad a nivel mundial se registraron ya más de 58 millones de casos y 1 millón 390 mil muertes y en nuestro país ya se han acumulado más de 1,3 millones de casos y más de 37 mil muertes.1 El patógeno causante, el coronavirus del síndrome respiratorio agudo severo 2 (SARS-CoV-2 o SC2), pertenece a una familia de betacoronavirus que son virus de ARN de cadena única envueltos y que infectan a mamíferos. Existen variaciones considerables en los diferentes países en cuanto a la epidemiología de COVID-19, sus métodos de evaluación y rastreo, las estrategias terapéuticas y de gestión de los pacientes y de las herramientas preventivas. La tasa de letalidad de COVID-19 muestra una fuerte correlación con la edad, la presencia de comorbilidades y el status inmunológico de los pacientes. Los ancianos y las personas con comorbilidades como hipertensión, dislipemias, antecedentes de cardiopatía isquémica, enfermedad pulmonar obstructiva crónica, enfermedad hepática o renal crónica, o pacientes inmunocomprometidos es más probable que presenten formas graves de la enfermedad y tasas de mortalidad más elevadas. Hasta este el momento no existe tratamiento curativo para COVID-19 y los esfuerzos se concentran en frenar la propagación de la enfermedad y de esta forma mitigar el daño. La inmunidad de rebaño ha sido considerada como una forma efectiva de frenar la propagación de la enfermedad. La inmunidad de rebaño puede lograrse por la infección natural o por la vacunación. Sin embargo, la proporción de la población que debe ser inmunizada para lograr la inmunidad de rebaño varía de uma enfermedad a otra. Se han realizado diversas estimaciones acerca del nivel de inmunidad que debería tener una población para detener el avance de la pandemia de COVID-19 en un 70% de la población, lo cual representan más de 30 millones de personas en Argentina. De todas maneras, aún existe incertidumbre acerca de la duración de la inmunidad que confiere la infección por SC2 y han sido reportados algunos casos de reinfecciones.4 Además, se han notificado mutaciones del SC2 y la creciente población de los pacientes recuperados de COVID-19 podrían no contribuir a la inmunidadefectiva de rebaño si las oleadas subsiguientes de la pandemia se producen por variantes del SC2 frente a las cuales no se desarrollaron anticuerpos neutralizantes. La infección generalizada por el SC2 podría dar lugar a complicaciones graves y a altas tasas de mortalidad, especialmente entre los ancianos y las personas con enfermedades crónicas y también podría suponer una grave carga para el sistema de atención de la salud y, a su vez, causar grandes trastornos económicos. Por lo tanto, el desarrollo de vacunas seguras y eficaces es la mejor respuesta frente a la pandemia. Idealmente, el desarrollo de una vacuna optimizada capaz de brindar protección contra múltiples cepas de betacoronavirus sería más eficiente, en previsión de futuros brotes que podrían surgir de diferentes tipos de cepas de coronavirus. OBJETIVOS: Describir las características que debería tener la vacunación para COVID-19, las diferentes tecnologias utilizadas en su desarrollo, así como resumir información de aquellas vacunas que se encuentren em fases avanzadas de investigación clínica. Además, presentar información preliminar acerca de eficácia y seguridad de estas vacunas. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas de artículos revisados por pares, en buscadores de artículos científicos que se encuentran en proceso de revisión por pares, em buscadores genéricos de internet y en plataformas de seguimiento del desarrollo de vacunas de instituciones académicas. CONCLUSIÓN: En el presente documento se recopila información proveniente de artículos científicos revisados por pares, artículos no revisados por pares, informes de diferentes plataformas de rastreo del desarrollo de vacunas y comunicaciones oficiales por parte de las empresas o institutos de investigación que lideran los ensayos de las potenciales vacunas en estudio.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/prevention & control , Technology Assessment, Biomedical , Vaccines/supply & distribution , Treatment Outcome , Cost-Benefit Analysis
4.
Buenos Aires; IECS; 25 ago. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1119343

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID-19), por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos por un nuevo Coronovirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. TECNOLOGÍA: El dióxido de cloro (ClO2) es un gas de producción industrial de color amarillo a amarillo rojizo que no se encuentra de forma natural en el medio ambiente. Se lo considera como peligroso para el medio ambiente, especialmente para los organismos acuáticos, y normalmente se lo utiliza para desinfectar superficies y el agua para consumo humano, y como blanqueador de pulpa de madera para la fabricación de papel. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y recomendaciones de sociedades para uso de dióxido de cloro en pacientes con COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes organizaciones de salud. RESULTADOS: Se incluyeron un pequeño estudio observacional (serie de casos) en curso y 21 recomendaciones de sociedades científicas. No se hallaron estudios que evalúen la eficacia y seguridad del dióxido de cloro en COVID-19, como en ninguna otra patología. CONCLUSIONES: No se hallaron estudios que evalúen la eficacia del dióxido de cloro para la prevención o el tratamiento de la infección por COVID-19. Se identificaron varios reportes a nivel mundial indicando que el dióxido de cloro ha causado muertes, graves problemas de salud y pérdidas económicas entre sus usuarios. La Organización Panamericana de la Salud, como todos los Ministerios de Salud y Sociedades científicas de los países relevados, y alentando el reporte de casos detectados de morbimortalidad atribuible a su consumo a las autoridades competentes.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/drug therapy , Chlorine Dioxide/adverse effects , Betacoronavirus/drug effects , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation , Cost-Benefit Analysis
5.
Buenos Aires; IECS; 13 ago. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1119354

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID-19), por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos por un nuevo Coronovirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. TECNOLOGÍA: La cabina sanitizante es una camera, túnel o puerta donde las personas son desinfectadas mediante distintos medios. En algunos casos son cerradas y la desinfección es estática y en otros son abiertas y la misma es de forma dinámica mientras la persona atraviesa el túnel sin tener que detenerse. Los medios de desinfección pueden ser mediante rayos ultravioletas (UV), ozono o algún desinfectante químico. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia y seguridad de la cabina sanitizante en el tratamiento de la infección por COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes organizaciones de salud. RESULTADOS: Se incluyeron cuatro evaluaciones de tecnológicas sanitarias y ocho GPC o recomendaciones, acerca del uso sanitizantes en la prevención de la infección por COVID-19. CONCLUSIONES: No se encontró evidencia acerca de la eficacia ni la seguridad de la implementación de la cabina (o túnel) sanitizante para la prevención de COVID-19.


Subject(s)
Humans , Chambers , Disinfection/methods , Coronavirus Infections/prevention & control , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation , Cost-Benefit Analysis
6.
Buenos Aires; IECS; 28 jul. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1119361

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID-19), por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos por un nuevo Coronovirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. TECNOLOGÍA: La vitamina C o ácido ascórbico es una vitamina soluble en agua con una función conocida sobre la síntesis de colágeno en tejidos conectivos y actúa como antioxidante. La vitamina D no solo es un nutriente sino también una hormona, que puede sintetizarse en nuestro cuerpo con la ayuda de la luz solar. El zinc es un oligoelemento dietético y es importante para el mantenimiento y el desarrollo de las células inmunes del sistema inmunitario innato y adaptativo. La deficiencia de Zinc resulta en la disfunción de la inmunidad humoral y mediada por células y aumenta la susceptibilidad a enfermedades infecciosas. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y aspectos relacionados a las políticas de cobertura del uso de suplementos vitamínicos (Vit. C, D) y Zinc en la infección por COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes organizaciones de salud. RESULTADOS: Se incluyeron una RS con MA, un protocolo de RS, un estudio observacional retrospectivo y ocho recomendaciones de sociedades científicas. No se hallaron estudios que evalúen la suplementación con vitaminas C y D para la prevención o tratamiento de la infección por COVID-19. Para Zinc, se halló un solo estudio que lo utiliza combinado con tratamientos discontinuados para esta patología por alertas en su seguridad. CONCLUSIONES: No hallaron estudios que evalúen la suplementación con las vitaminas C y D, solas o combinadas con otros tratamientos, en la prevención o tratamiento de la infección por COVID-19. Tampoco se encontraron estudios preventivos que evaluén el uso de Zinc. En el caso de su uso terapéutico, evidencia de muy baja calidad no permite determinar los efectos de la suplementación con Zinc en pacientes hospitalizados por COVID-19. Aunque se desconoce el efecto preventivo en relación al COVID-19, se halló evidencia de alta calidad de estudios realizados durante la era pre- COVID-19 que muestra que, en población general, la suplementación con vitamina D reduce el riesgo de infecciones respiratorias agudas. La incertidumbre actual podría reducirse a corto o mediano plazo debido a que se encuentran en curso aproximadamente 90 estudios que evaluarán el efecto de la administración C y D, y Zinc, solas o en combinación con otros tratamientos, para la prevención o tratamiento de la infección por COVID-19.


Subject(s)
Humans , Ascorbic Acid/administration & dosage , Vitamin D/administration & dosage , Zinc/administration & dosage , Coronavirus Infections/prevention & control , Betacoronavirus/drug effects , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation , Cost-Benefit Analysis
8.
Québec; INESSS; 6 juil. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102730

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document a été rédigé en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des recommandations publiées afin d'appuyer les travaux du MSSS visant à se doter de directives provinciales en matière de prise en charge des patients atteints d'un cancer urologique, destinées aux décideurs publics et aux professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les présents travaux ne reposent pas sur un repérage exhaustif des données publiées et une évaluation de la qualité méthodologique des publications avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles publications susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: Dans le présent contexte d'urgence sanitaire, une réorganisation significative des soins destinés aux patients atteints de cancer a été entreprise afin de protéger les patients des risques de contracter la COVID-19 et aussi de permettre une réallocation de certaines ressources à la prise en charge de la COVID-19. Le MSSS a entrepris des travaux dans le but d'orienter les équipes de soins sur ce qui devra être maintenu, délesté ou adapté dans un contexte où le système ne permettrait qu'un accès limité à certains services. Une recension sommaire des principales lignes directrices et prises de position par des associations, des sociétés savantes et des consensus d'experts en lien avec la priorisation des soins en contexte d'urgence sanitaire a été effectuée. Un comité d'experts québécois spécialisés en cancers urologiques (prostate, rein, glande surrénale, voies excrétrices supérieures, vessie, testicule, pénis et urètre) a par la suite été formé par le MSSS pour discuter des informations extraites de la littérature et formuler, par consensus, des recommandations en lien avec la priorisation des soins propre au contexte québécois. Le présent document expose la revue de la littérature réalisée dans le but d'appuyer les travaux du groupe d'experts. Les recommandation finales sont disponibles sur le site du MSSS au lien suivant : Priorisation des patients. MÉTHODOLOGIE: Question d'évaluation. Quels sont les principales lignes directrices et prises de position des associations, des sociétés savantes et des consensus d'experts en lien avec la priorisation des soins pour le traitement de cancers urologiques en contexte d'urgence sanitaire? Revue de littérature Repérage des publications : Littérature scientifique : La revue de la littérature scientifique (langue anglaise et française) a été réalisée entre le 27 mars et le 2 avril 2020 dans PubMed avec différentes combinaisons des mots-clés suivants : « COVID-19 ¼, « coronavirus ¼, « cancer ¼, « oncologie (oncology) ¼, « prise en charge du cancer (cancer management) ¼, « urologie (urology) ¼, « soins en cancérologie (cancer care) ¼, « options thérapeutiques (therapeutic options) ¼, « pratique clinique (clinical practice) ¼, « recommandation (recommendation) ¼, et « priorisation (prioritisation) ¼. Les listes de références des documents retenues ont été consultées afin de repérer d'autres publications admissibles. Les liens similar articles et cited by de l'interface PubMed ont été consultés pour chacune des publications scientifiques retenues ainsi que des revues narratives pertinentes. Littérature grise : Une recherche dans google a été faite avec les mots-clés mentionnés (langue française et anglaise). SOMMAIRE DES RÉSULTATS: Résultat de la recherche documentaire Prises de positions et lignes directrices des sociétés savantes, associations médicales, consensus ou opinions d'experts: Douze publications rapportant des prises de position et des lignes directrices relatives à la priorisation des soins en contexte d'urgence sanitaire ainsi que les alternatives thérapeutiques proposées concernant la prise en charge des cancers urologiques ont été retenues.


Subject(s)
Practice Patterns, Physicians'/standards , Urologic Neoplasms/therapy , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
9.
Québec; INESSS; 16 juil. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1103460

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats ou les positions qui en découlent ne reposent pas sur un repérage exhaustif des données publiées, une évaluation de la qualité méthodologique des études avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: La poursuite des traitements anti-cancéreux chez les patients atteints de la COVID-19 n'est généralement pas recommandée en raison du risque d'immunosupprimer davantage le patient, d'entraîner le développement de complications sérieuses en lien avec la COVID-19 et de contaminer le personnel et les autres usagés traités en centre oncologique [ASCO, 2020; INESSS, 2020a; MSSS, 2020]. Une fois rétabli de la COVID-19, le retour au traitement doit être sécuritaire pour ces patients, le personnel soignant et les autres usagers traités en oncologie. Une recension sommaire des principales lignes directrices et prises de position par des associations, des sociétés savantes et des consensus d'experts a été réalisée pour déterminer à quel moment il sera possible d'initier ou reprendre un traitement systémique ou une radiothérapie et quels sont les facteurs pouvant guider ce retour au traitement. Des questions secondaires, en lien avec les critères de guérison généralement utilisés dans les milieux hospitaliers, la persistance de l'ARN du virus SARS-CoV-2 et les risques de réinfections des patients atteints de cancer, ont été ajoutées pour compléter le tout. MÉTHODOLOGIE: Question d'évaluation principale 1- Quels sont les meilleures pratiques et facteurs à considérer au regard de la reprise des traitements chez les patients atteints de cancer et guéris de la COVID-19? Questions d'évaluations secondaires 2- Quels sont les critères permettant de considérer une personne guérie (non contagieuse) de la COVID-19? 3- Quels sont les risques de réinfection chez les patients atteints de cancer devant faire un retour en milieu de soin? SOMMAIRE DES RÉSULTATS: 1- Reprise des traitements oncologiques suivant un report ou une interruption des traitements chez les patients atteints de la COVID-19 État actuel des connaissances scientifiques. 2- Critères de guérison et persistance de l'ARN viral Critères utilisés pour considérer un patient guéri de la COVID-19. Risques de réinfections chez les patients atteints de cancer. État actuel des connaissances scientifiques.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/prevention & control , Antineoplastic Protocols/standards , Neoplasms/therapy , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
12.
Québec; INESSS; 29 juin 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102165

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats ou les positions qui en découlent ne reposent pas sur une recherche exhaustive des données publiées et une évaluation de sa qualité avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: La phase de rétablissement d'une pandémie vise le retour à un fonctionnement régulier similaire à celui d'avant le sinistre, tout en prenant en compte les conséquences de celui-ci. Elle se distingue difficilement de la phase de l'intervention, car le passage temporel entre ces deux phases s'effectue généralement de façon graduelle à la suite du sinistre et s'opère différemment selon l'importance et la nature de l'évènement. Au début de la pandémie de la Covid-19 actuelle, des mesures restrictives ont rapidement été mises en place au Québec et partout dans le monde afin de diminuer les risques de transmission et le nombre de décès liés à la maladie et d'éviter une surcharge du réseau de la santé. Ces mesures ont eu un effet substantiel sur le quotidien de tous et en particulier sur celui des jeunes. Leurs occupations ont été grandement limitées principalement par la fermeture des écoles et des services de garde, mais aussi par la suspension ou la limitation des activités culturelles, sportives et de loisirs. Ces fermetures sont considérées comme étant une bonne façon d'aplanir la courbe épidémique, notamment avant la survenue du pic de la courbe. L'évolution de la situation pousse les dirigeants de plusieurs pays à établir un plan de déconfinement, en respect des directives de l'Organisation mondiale de la santé en la matière et en tenant compte de toutes les conséquences des mesures restrictives. Cette réponse rapide traite de la question suivante : Quels sont les moyens ou interventions mis en place pour limiter les conséquences négatives des mesures restrictives liées à la pandémie sur le développement et le bien-être des jeunes, dans la transition vers une nouvelle normalité? MÉTHODOLOGIE: Revue de littérature: Repérage des publications: Une stratégie documentaire a été élaborée par la conseillère en information scientifique afin de créer une banque maîtresse dans le but de repérer les documents clés en lien avec les stratégies mises en place lors du déconfinement des jeunes dans le contexte du coronavirus et autres situations susceptibles de recourir au confinement (p. ex. : SRAS, Ebola, pandémie, épidémie, crise sanitaire). De plus, les constats des réponses rapides produites par l'INESSS portant sur les jeunes dans le contexte de la pandémie à la Covid-19 sont présentés en annexe à titre de référence complémentaire. Les bases de données consultées à cette fin sont : Medline, PsycINFO. Les mots-clés utilisés pour le repérage de documents liés au coronavirus et concepts connexes incluent notamment : coronavirus, pneumonia virus, SARS-CoV, acute respiratory syndrome, Ebola, MERS, SARS, H1N1, pandemic, epidemic, disaster, health crisis, catastrophe. Les mots-clés utilisés pour le repérage des documents en lien avec les jeunes incluent notamment : child, adolescent, kid, teen, youth. Les mots-clés utilisés pour le repérage des documents en lien avec les stratégies et les conséquences des mesures incluent : strategy, distancing, school, nursery, sports, camps, development, wellbeing. Un repérage de la littérature grise a été effectué sur les sites web de différentes organisations nationales et internationales ainsi que ceux de gouvernements de différentes juridictions. CONCLUSION: Les divers moyens répertoriés à travers le monde pour favoriser le développement et le bien-être des jeunes dans le contexte actuel s'articulent principalement autour de trois axes. Premièrement, la mise en place du plan de éconfinement permettra aux jeunes de reprendre graduellement leurs activités sociales, éducatives, récréatives et communautaires. Deuxièmement, de nombreuses mesures sont proposées pour soutenir les jeunes en vue de s'adapter aux conséquences négatives des mesures restrictives qui demeurent en vigueur. Ces mesures incluent les guides de soutien en ligne destinés aux jeunes et aux parents, les initiatives sur les réseaux sociaux visant à promouvoir la solidarité sociale entre les jeunes, et l'accompagnement personnalisé aux élèves en difficulté malgré la fermeture des écoles, par exemple. Troisièmement, une attention spéciale devrait être portée à l'utilisation des technologies numériques dans l'optique d'en maximiser les bienfaits pour le bien-être et la stimulation des jeunes tout en minimisant les risques pour leur sécurité.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Returning State , Social Networking , Return to Work , Return to Sport , Internet Access/trends , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
13.
Québec; INESSS; 29 juin. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102181

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats ou les positions qui en découlent ne reposent pas sur une recherche exhaustive des données publiées et une évaluation de sa qualité avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: La présente réponse rapide se veut complémentaire à celle intitulée COVID-19 et les approches favorisant l'observance des mesures de précaution et de protection auprès des personnes en situation de vulnérabilité [1]. Dans le cadre de cette dernière, les populations ciblées devaient présenter un jugement altéré et excluaient les enfants et les adolescents, à l'exception de ceux présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l'autisme. Sans que leur jugement soit altéré, certains enfants et adolescents peuvent avoir une compréhension plus limitée des consignes de précaution et de protection, ou y être réfractaires. Ceci peut avoir une influence sur le niveau même d'observance des mesures de précaution ou de protection, telles que les mesures d'hygiène et de distanciation sociale. Ainsi, cette réponse rapide traite de la question suivante : comment favoriser l'observance des mesures de précaution et de protection, dans le cadre de la pandémie de la Covid-19, des enfants et des adolescents en général et de ceux en difficulté? MÉTHODOLOGIE: Revue de littérature: Repérage des publications: Une stratégie documentaire visant à repérer tous les documents en lien avec l'adhérence aux mesures de précaution et de protection chez les enfants, les jeunes et les familles en situation de vulnérabilité psychosociale dans le contexte du coronavirus et autres situations susceptibles de soulever des enjeux similaires (p. ex. : SRAS, Ebola, pandémie, épidémie, crise sanitaire, désastre) a été élaborée par la conseillère en information scientifique afin de créer une banque maîtresse. Comme aucun titre n'avait été repéré avec cette stratégie, la décision a été prise d'en élaborer une sur les enfants, les adolescents et les familles en general La gravité du contexte actuel de pandémie peut effectivement rendre tous les enfants, les adolescents et leur famille en situation de vulnérabilité psychosociale. Les bases de données consultées à cette fin sont : Medline, PsycINFO, CINAHL, Cochrane Database of Systematic Review, Social Work Abstracts. SOMMAIRE DE LA LITTÉRATURE: D'après la littérature consultée, les adolescents apparaissent comme un groupe particulièrement à risque de ne pas respecter les mesures de précaution et de protection, surtout celles qui concernent la distanciation sociale [2-5]. Ceci pourrait s'expliquer notamment par les raisons suivantes: L'adolescence est une période de développement caractérisée par la quête d'une plus grande indépendance et autonomie, ce qui peut s'accompagner d'une certaine défiance. Les adolescents accordent une très grande importance à leur réseau social, ce dernier contribuant de manière significative à leur bien-être. Le fait d'être coupé de leurs pairs peut donc être vécu très difficilement, voire être perçu de façon tragique. Certains adolescents peuvent privilégier leur vie sociale au détriment de certaines règles de distanciation sociale. Le lobe frontal des adolescents demeure en développement, ce qui peut se traduire par une plus grande impulsivité et une certaine difficulté à réaliser les conséquences de ses actes. Certains adolescents peuvent se sentir invincibles et non concernés par les directives émises par la santé publique. Bien qu'aucun document recensé ne fournisse de l'information précise sur le niveau d'observance pendant la période de l'enfance, des stratégies pour favoriser l'observance des mesures de précaution et de protection chez les enfants et chez les adolescents ont été trouvées dans la littérature. Ainsi, il apparait pertinent d'examiner ces interventions susceptibles de favoriser une plus grande observance des mesures de précaution et de protection chez les jeunes, dans le contexte actuel de la pandémie de la COVID-19.


Subject(s)
Humans , Child , Adolescent , Social Isolation , Child Behavior , Quarantine/standards , Adolescent Behavior , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
14.
Québec; INESSS; June 29, 2020.
Non-conventional in English | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102192

ABSTRACT

CONTEXT: This document and the findings it sets out were prepared in response to an inquiry from the Ministry of Health and Social Services (MSSS) in the context of the coronavirus (COVID-19) health emergency in Quebec. The aim was to conduct a summary review of the published data and to mobilize key knowledge in order to provide information to policy makers and to health and social service professionals. Since this response had to be provided rapidly, the resultant findings are not based on a comprehensive search of the published data and a systematic assessment of the response quality, or on a highly developed consultation process. During this public health emergency, INESSS is keeping a watchful eye for new data that might warrant an update of this response. METHODOLOGY: Literature Review: Selection criteria: Children and families, with no limits in terms of time or document type. Literature review methods: The scientific documentation and grey literature were briefly reviewed, and a narrative synthesis based on a comprehensive reading of the documents reviewed was produced. The quality assessment of the documents was not performed. Literature search: The Scientific Information Adviser developed a search strategy to identify all documents related to the youth-in-difficulty activity sector as well as to coronavirus and other situations that might raise similar issues (e.g., SARS, Ebola, pandemics, epidemics, health crises, disasters). The goal was to create a master data bank for this sector. The data bank was then searched for answers to the questions of interest discussed in this document. A SUMMARY OF THE LITERATURE CONSULTED: 1. Maintaining the community social safety net around children and youth at risk of abuse. 1.1 Impact of Covid-19 and associated control measures on children, youth and families. According to the literature consulted, the control measures implemented to curb the spread of Covid-19 (e.g., closure of schools, child care centres and daycare centres, travel restrictions) can have a significant negative impact on children, youth and families, weaken the social safety net around children and increase the risks of abuse. Of the negative consequences identified among children, youth and parents, those most often reported relate to the closure of schools, child care centres and daycare centres. 1.2 Conditions conducive to implementing a community social safety net for children and youth at risk of abuse. As noted above, the pandemic context is likely to negatively impact the social safety net for children and youth in Quebec. It therefore seems important to specify the conditions that would be conducive to maintaining or even strengthening this safety net. ADJUSTING ORGANIZATIONAL AND CLINICAL PRACTICES TO ENSURE THE SAFETY OF CHILDREN AND YOUTH: The mission of ensuring the safety and development of children remains a core concern of child protection services. Given their essentiality, all youth services should be maintained during the current COVID-19 pandemic. Children and youth receiving child protection services are considered a vulnerable population because of the abuse they have suffered. Beyond this vulnerability, the pandemic context can significantly limit the ability of youth protection services to provide services to this population. It then becomes especially important for those services responsible for vulnerable children to ensure continuity of their services during this period. Various organizational and clinical practices identified in the literature review can be implemented by the institutions, managers and youth workers to ensure that children receiving youth protection services continue to do so. THESE PRACTICES ARE SUMMARIZED IN THE SECTIONS THAT FOLLOW. IN CASES OF SUPERVISED VISITS: Inform parents if their access rights have been suspended and suggest other means of communication to maintain contact. Encourage and create opportunities to foster regular contact between children and family members from whom they are physically separated because of the pandemic: If the use of video makes the conversation between the child and parent difficult, suggest a game that can be played at a distance to maintain the bond remotely. During supervised in-person visits: ask questions about the health of visitors prior to their visit and ensure compliance with sanitary hygiene measures (e.g., frequent cleaning of supervised visiting rooms). Answer the child's questions and reassure him or her that the situation is temporary.


Subject(s)
Humans , Child , Child Abuse , Quarantine/trends , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Child Protective Services/supply & distribution , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
15.
Québec; INESSS; 29 juin. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102207

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats qui en découlent ne reposent pas sur une recherche exhaustive des données publiées et une évaluation de sa qualité avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. MÉTHODOLOGIE: Revue de la littérature: Critères de sélection: Enfants et familles, sans limite de temps ou de type de document. Méthodes d'examen de la documentation: La documentation scientifique et la littérature grise ont été brièvement passées en revue et une synthèse narrative basée sur une lecture complète des documents examinés a été produite. L'évaluation de la qualité des documents n'a pas été effectuée. Recherche documentaire: le conseiller en information scientifique a élaboré une stratégie de recherche pour identifier tous les documents liés au secteur d'activité des jeunes en difficulté ainsi que les coronavirus et d'autres situations susceptibles de soulever des problèmes similaires (par exemple, SRAS, Ebola, pandémies, épidémies, santé). crises, catastrophes). L'objectif était de créer une banque de données maître pour ce secteur. La banque de données a ensuite été recherchée pour trouver des réponses aux questions d'intérêt abordées dans ce document. UN RÉSUMÉ DE LA LITTÉRATURE CONSULTÉE: 1. Maintenir le filet de sécurité sociale communautaire autour des enfants et des jeunes à risque d'abus. 1.1 Impact de Covid-19 et des mesures de contrôle associées sur les enfants, les jeunes et les familles. Selon la littérature consultée, les mesures de contrôle mises en œuvre pour freiner la propagation de Covid-19 (par exemple, fermeture d'écoles, de garderies et de garderies, restrictions de voyage) peuvent avoir un impact négatif significatif sur les enfants, les jeunes et les familles, affaiblir le filet de sécurité sociale autour des enfants et augmenter les risques d'abus. Parmi les conséquences négatives identifiées chez les enfants, les jeunes et les parents, celles le plus souvent signalées concernent la fermeture des écoles, des crèches et des garderies. 1.2 Conditions propices à la mise en place d'un filet de sécurité sociale communautaire pour les enfants et les jeunes à risque d'abus. Tel que mentionné ci-dessus, le contexte pandémique est susceptible d'avoir un impact négatif sur le filet de sécurité sociale pour les enfants et les jeunes du Québec. Il semble donc important de préciser les conditions qui seraient propices au maintien voire au renforcement de ce filet de sécurité. AJUSTER LES PRATIQUES ORGANISATIONNELLES ET CLINIQUES POUR ASSURER LA SÉCURITÉ DES ENFANTS ET DES JEUNES: La mission d'assurer la sécurité et le développement des enfants reste une préoccupation centrale des services de protection de l'enfance. Étant donné leur caractère essentiel, tous les services aux jeunes devraient être maintenus pendant la pandémie actuelle de COVID-19. Les enfants et les jeunes bénéficiant de services de protection de l'enfance sont considérés comme une population vulnérable en raison des sévices qu'ils ont subis. Au-delà de cette vulnérabilité, le contexte pandémique peut limiter considérablement la capacité des services de protection de la jeunesse à fournir des services à cette population. Il devient alors particulièrement important pour les services chargés des enfants vulnérables d'assurer la continuité de leurs services pendant cette période. Diverses pratiques organisationnelles et cliniques identifiées dans la revue de la littérature peuvent être mises en œuvre par les institutions, les gestionnaires et les animateurs de jeunesse pour garantir que les enfants recevant des services de protection de la jeunesse continuent de le faire. CES PRATIQUES SONT RÉSUMÉES DANS LES SECTIONS SUIVANTES. EN CAS DE VISITES SUPERVISÉES: Informez les parents si leurs droits d'accès ont été suspendus et proposez d'autres moyens de communication pour maintenir le contact. Encouragez et créez des occasions de favoriser des contacts réguliers entre les enfants et les membres de la famille dont ils sont physiquement séparés en raison de la pandémie: si l'utilisation de la vidéo rend la conversation entre l'enfant et les parents difficile, proposez un jeu qui peut être joué à distance pour maintenir le lien à distance. Pendant les visites supervisées en personne: posez des questions sur la santé des visiteurs avant leur visite et assurez-vous du respect des mesures d'hygiène sanitaire (par exemple, nettoyage fréquent des salles de visite surveillées). Répondez aux questions de l'enfant et rassurez-le que la situation est temporaire.


Subject(s)
Child Abuse , Quarantine/trends , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Child Protective Services/supply & distribution , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
16.
Lima; EsSalud; 16 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100039

ABSTRACT

GENERALIDADES: Objetivo y población de las recomendaciones: Brindar a los empleadores recomendaciones generales de medidas preventivas y prácticas seguras para la prevención de contagio de COVID - 19 en centros laborales. Población a la cual se aplicará las recomendaciones: Empleados que retornan a sus centros laborales en contexto de pandemia por COVID - 19. Usuarios y ámbito de las recomendaciones: Usuarios de las recomendaciones clínicas. Estos lineamientos están dirigidos a los empleadores y autoridades administrativas de Institutos y centros especializados de EsSalud en contexto de pandemia por COVID - 19. Ámbito de las recomendaciones clínicas: El presente documento es de aplicación en centros laborales. MÉTODOS: a. Búsqueda y selección de protocolos, guías de práctica clínica y documentos técnicos prévios: El 05 de junio de 2020 se realizó una búsqueda manual de guías de práctica clínica, y documentos técnicos nacionales e internacionales que brinden orientaciones para el retorno seguro a los centros laborales en contexto de pandemia por COVID - 19. Se consideró tomar como principal fuente de información a aquellos documentos que brindaron recomendaciones para la prevención de la transmisión e infección por COVID - 19 en centros laborales. b. Formulación de recomendaciones: Se revisaron los documentos previamente seleccionados que describieron ampliamente los procedimientos y consideraciones a tener antes del retorno a las actividades laborales, así como las actividades preventivas durante el desarrollo de las actividades laborales. Posteriormente se adaptaron al contexto del Seguro Social de Salud ­ EsSalud aquellos documentos cuyas recomendaciones estaban en concordancia con lo establecido en los documentos técnicos locales. DEFINICIONES OPERATIVAS: Centro laboral: Unidad productiva en el que se desarrolla la actividad laboral de una organización con la presencia de trabajadores. Desinfección: Reducción por medio de sustancia químicas y/o métodos físicos del número de microorganismos presentes en una superficie o en el ambiente, hasta un nivel que no ponga en riesgo la salud. EPP: Equipo de Protección Personal. Limpieza: Eliminación de suciedad e impurezas de las superficies utilizando agua, jabón, detergente o sustancias químicas. Puestos de trabajo con riesgo de exposición a SARS-CoV-2 (COVID-19): Son aquellos puestos con diferente nivel de riesgo, que depende del tipo de actividad que realiza, por ejemplo, la necesidad de contacto a menos de 1 metro con personas que se conoce o se sospecha que estén infectadas con el virus del SARS-CoV-2, o el requerimiento de contacto repetido o prolongado con personas que se conoce o se sospecha que estén infectadas con el virus SARS-CoV-2. Empleador: Persona natural, jurídica, privada o pública, que emplea a uno o varios trabajadores. Trabajador: Persona que tiene vínculo laboral con el empleador; y a toda persona que presta servicios dentro de un centro laboral, cualquiera sea la modalidad contractual, incluyendo al personal de contratas, subcontratas, tercerización de servicios, entre otros. Trabajo en modalidad mixto: Hace referencia a la combinación de trabajo presencial con trabajo remoto, alternando las modalidades en atención a las necesidades de la entidad. Trabajo presencial: Se refiere a las tareas o funciones desempeñadas por un servidor con presencia física en el centro de labores, como consecuencia de una prestación laboral. Trabajo remoto: Es la prestación de servicios sujeta a subordinación, con la presencia física del servidor en su domicilio o lugar de aislamiento domiciliario, utilizando cualquier medio o mecanismo que le posibilite realizar sus funciones fuera del centro laboral, siempre que la naturaleza de las labores lo permita. RECOMENDACIONES EN EL CENTRO LABORAL: 1. Información y sensibilización del riesgo de transmisión e infección por COVID ­ 19. Difusión de mensajes clave: Difundir mensajes charlas informativas, paneles informativos, distribución de material informativo y de recordatorio como afiches o por medios electrónicos. Medidas de prevención de riesgo de infección por COVID ­ 19: Medidas generales de higiene. Limpieza del ambiente laboral. Equipos de protección individual. Medidas de control de riesgo de infección por COVID - 19: Lavado y desinfección de manos obligatorio. Medidas de protección personal. Vigilancia de salud del trabajador.


Subject(s)
Disinfection/standards , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/transmission , Surveillance of the Workers Health , Return to Work/trends , Personal Protective Equipment/standards , Household Work/standards , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
17.
s.l; IETSI; 8 jun. 2020.
Non-conventional in Portuguese | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100100

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: Con 196 515 casos positivos de SARS-CoV-2 al 7 de junio, el Perú enfrenta una sobredemanda de los pacientes con COVID-19 que requieren atención en servicios de salud (Ministerio de Salud 2020). Este escenario se ve reflejado en los 9583 pacientes hospitalizados, de los cuales 1062 se encuentran en una unidad de cuidados intensivos con ventilación mecánica (Ministerio de Salud 2020). Así se deben implementar una serie de procesos de desinfección en los ambientes de los servicios de salud destinados a reducir el riesgo de contagio entre pacientes y al personal de salud considerando que la vía principal de transmisión del SARS-CoV-2 en ambientes interiores es por vía aérea a partir de los portadores del virus (Setti et al. 2020). Como parte de las estrategias del sistema de salud para enfrentar al COVID-19 se expandió la oferta de camas hospitalarias y de unidades de cuidados intensivos; asimismo, se implementaron diversos ambientes para acoger a los pacientes con COVID-19 (Presidencia del Consejo de Ministros 2020). Los pacientes con COVID-19 pueden generar gotas y aerosoles al estornudar, toser y hablar que pueden diseminar al SARS-CoV-2 (World Health Organization 2020b), por lo tanto, la atención en entornos hospitalarios requiere un alto nivel de asepsia. Sin embargo, la escasez de recursos y de personal de salud durante la pandemia, se ha convertido en una limitante, por lo que es necesario evaluar cuáles son las medidas más efectivas y qué otras medidas de desinfección pueden ser empleadas para este fin. El 30 de marzo de 2020, el Instituto de Evaluación de Tecnologías en Salud e Investigación publicó el Reporte Breve N° 15, en el cual se evaluó el uso de luz ultravioleta como sustituto a la presión negativa en unidades de cuidados intensivos, concluyendo hasta ese momento que, no se podía establecer si la luz ultravioleta inactiva al SARS-CoV-2 y que estudios previos en otros coronavirus han mostrados resultados positivos con la luz ultravioleta tipo C (Instituto de Evaluación de Tecnologías en Salud e Investigación 2020). No obstante, es necesario evaluar si existe evidencia más actualizada y si es posible emplear la luz ultravioleta en otros ambientes hospitalarios. En tal sentido, el objetivo del presente reporte breve es identificar la mejor evidencia disponible acerca de la eficacia de la luz ultravioleta para ser usada como un procedimiento desinfección contra el SARS-CoV-2 en ambientes hospitalarios y sus recomendaciones de uso. MÉTODOS: Se llevó a cabo una búsqueda sistemática de la literatura el día 7 de junio de 2020 con respecto al uso de la luz ultravioleta para la desinfección de ambientes o superficies hospitalarias en el contexto de SARS-CoV-2. Para ello se emplearon las bases de datos bibliográficas: PubMed, Medline vía OVID y Embase. Asimismo, se realizó una búsqueda manual avanzada en Google, y en páginas web de las principales sociedades o instituciones especializadas, tales como la World Health Organization (WHO) ((https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019) y Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/index.html). Se consideró la revisión de las listas de referencias de los estudios selecionado. RESULTADOS: No se encontraron guías de práctica clínica, evaluaciones de tecnologías sanitarias, revisiones sistemáticas o estudios primarios en las bases de datos bibliográficas que evalúen la eficacia de la luz ultravioleta para ser usada como un procedimiento de desinfección contra el SARS-CoV-2 en ambientes hospitalarios. A la fecha se han publicado una serie de experiencias acerca de medidas implementadas ante el COVID-19 y una guía de la Organización Mundial de la Salud donde se describen algunas medidas que deben implementarse en áreas de evaluación y tratamiento de pacientes COVID-19 en servicios de salud. La información contenida en estos documentos sobre luz ultravioleta es muy puntual y no brinda mayores detalles técnicos acerca de las características de los equipos y condiciones de operatividad de los equipos. CONCLUSIÓN: No se han encontrado estudios que determinen la eficacia de la luz ultravioleta para la desinfección de ambientes o superficie hospitalarios. No obstante, tal como fue descrito en el Reporte Breve N° 15 del Instituto de Evaluación de Tecnologías en Salud e Investigación, existen estudios in vitro que muestran que la luz ultravioleta tiene la capacidad de inhibir el crecimiento en los coronavirus MERS y SARS, los cuales tienen un componente genético es similar al SARS-CoV-2. El uso de la luz ultravioleta en entornos hospitalarios ha sido descrito en publicaciones de experiencias realizadas en China, que reportan su uso como un procedimiento de desinfección de ambientes hospitalarios que se realiza durante 20 a 60 minutos sin tener mayores detalles sobre el tipo de luz ultravioleta empleada, fuentes de luz empleadas y área de cobertura de la fuente de luz ultravioleta según tipo de área hospitalaria. Es importante mencionar que la irradiación de luz ultravioleta para la desinfección de ambientes o superficies hospitalarias requiere que las salas estén sin pacientes o personal de salud por el daño potencial que puede ocasionar la sobreexposición en piel y ojos (Yan et al. 2020, Barnard, Eadie, and Wood 2020, Talbot et al. 2002). Por lo tanto, con la evidencia disponible a la fecha (7 de junio de 2020), no es posible establecer si la luz ultravioleta es eficaz para inactivar al virus SARS-CoV-2; sin embargo, experiencias previas y una guía de la Organización Mundial de la Salud incluyen a la luz ultravioleta de tipo C como una media de desinfección luego de un procedimiento de limpieza manual en ambientes destinados a la atención de pacientes con COVID-19. Futuras investigaciones son necesarias para determinar la eficacia de la luz ultravioleta en SARS-Cov-2 dados los resultados previos de los estudios con otros coronavirus.


Subject(s)
Humans , Ultraviolet Rays , Disinfection/methods , Coronavirus Infections/prevention & control , Hospitals/standards , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
18.
s.l; RedARETS; 17 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1100147

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: En el contexto de la pandemia por SARS-CoV-2 se vienen desarrollando estrategias con el fin de reducir la transmisión del virus causante, tales como distanciamiento físico, protección personal, lavado de manos, uso de desinfectantes tales como alcohol 70° y aislamiento social mediante cuarentenas. Con la posibilidad del término de la cuarentena, se ha generado un interés en la aplicación de medidas de utilidad para la prevención del contagio del COVID 19, muchas de las cuales no han sido revisadas y reguladas por las autoridades de salud, entre ellas, el uso de dispositivos tipo cabina, cámara, túnel o arco de aspersión para la aplicación de desinfectantes sobre las personas que transitan por el interior o a través de estos. Se pretende reducir la potencial contaminación infecciosa viral que esté presente sobre la superficie de la ropa de la persona que ingresa al lugar. De acuerdo a lo divulgado por medios de comunicación, y lo reportado por algunos fabricantes, se han estado utilizando para la aspersión sobre personas, diferentes productos cuyo uso autorizado es la desinfección de superficies, equipos, dispositivos. Las cabinas sanitizantes son estructuras modulares de desinfección utilizadas para grandes y continuos flujos de personas. El objetivo es obtener una desinfección de la superficie de las personas que ingresan a sitios confinados, o donde se compartirá con varias personas más, a fin de reducir los contagios, en particular de SARS-COV-2. OBJETIVO: Evaluar la evidencia sobre Cabinas, duchas o túneles sanitizantes saber: Evidencia de eficacia para eliminar el SARS-COV-2 y evidencia de seguridad para la población. METODOLOGÍA: Se realizó una ETS Ultrarrápida en forma colaborativa entre los miembros de Redarets y colaboradores externos. Todos los participantes suscribieron su declaración de conflictos de interés. Las preguntas que se busca responder son las siguientes. ¿Qué tipo de cabinas sanitizantes existen en Argentina?¿Cuáles son las diferencias de las cabinas sanitizantes en términos de componentes , tales como tiempo de exposición, tipo de desinfectante? ¿Cuál es la eficacia de las cabinas sanitizantes, para reducir la carga viral de superficies externas de las personas? ¿Cuál es la seguridad de las cabinas sanitizantes para las personas expuestas? RESULTADOS: Se identificaron al menos 6 productos comercializados por diferentes empresas en el país. La mayoría de ellas son transportables, y funcionan a base de ácido hipocloroso, salvo dos que usan adicionalmente ozono y radiación U.V. Así mismo, la ANMAT informó recientemente que las "cabinas sanitizantes o túneles de desinfección", no se encuentran autorizadas por esta Administración Nacional. Las cabinas difieren en sus especificaciones técnicas (detectores, temperatura, equipamiento); desinfectantes usados y tiempo de exposición del mismo. En cuanto a la eficacia de las cabinas sanitizantes, para reducir la carga viral de superficies externas solamente es eficaz a nivel superficial, ya que, de encontrarse presente, el SARS-CoV2, permanecerá en las mucosas y aerosoles de la persona contagiada (sintomático o asintomático), haciendo que a pesar de haberse rociado, sea contagioso, sin considerar los riesgos para la salud. En cuanto a la seguridad para la personas expuestas, los usuarios circulan sin recibir información clara y objetiva al respecto del producto que le aplican o los potenciales riesgos, ni cumplir un protocolo específico, por lo cual, algunos pasan muy rápidamente y otros no. Es infrecuente el uso de protección ocular y algunos entran con ropa que no cubre sus brazos y piernas, haciendo que el producto entre en contacto directo con la piel. La sensación de humedad en la cara, puede hacer que la persona se toque la cara y se refriegue los ojos facilitando la inoculación de partículas virales que pueden estar presentes en sus manos generando un potencial ingreso de agentes patógenos al organismo, generando irritación ocular o en la piel. CONCLUSIONES Y RECOMENDACIONES: La ausencia de estudios y evidencia suficiente que permitan documentar la eficacia y seguridad de la aspersión directa de desinfectantes sobre las personas, es suficiente y contundente para dejar de exponer de forma innecesaria a la población a una diversidad de productos químicos cuyo fabricante no ha probado y desarrollado para ser aplicados sobre las personas, recomendándose no utilizar cabinas, túneles, arcos y demás sistemas de aspersión o nebulización de desinfectantes, como estrategia de desinfección de personas, en el contexto de la emergencia por COVID -19.(AU)


Subject(s)
Humans , Chambers/methods , Disinfection/standards , Coronavirus Infections/prevention & control , Noninvasive Ventilation/methods , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
19.
Buenos Aires; s.n; 16 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1116509

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID­19, por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos producida por un nuevo coronavirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. El 11 de marzo de 2020 la Organización Mundial de la Salud (OMS) declaro a COVID-19 como una pandemia. Desde ese momento hasta el 18 de Junio su circulación se ha reportado en 205 países reportándose más de 8.242.999 casos y la muerte de 445.535 personas. El período de incubación de la infección por 2019­nCoV es de 2 a 14 días. La mayor parte de los contagios se producen de persona a persona, siendo altamente transmisible. La clínica varía desde casos asintomáticos a cuadros febriles con tos y dificultad respiratoria, neumonía y distrés respiratorio. También puede acompañarse de alteraciones gastrointestinales.3 El departamento de medicina interna del Hospital de Brigham de la escuela de medicina de Harvard ha postulado una clasificación clínico-terapéutica de la enfermedad que divide el curso de la misma en diferentes etapas y a su vez identifica dos subconjuntos patológicos superpuestos pero diferentes entre sí, desencadenados el primero de ellos por el virus y el segundo por la respuesta del huésped al virus. TECNOLOGÍA: Según la Administración Nacional de Medicamentos, Alimentos y Tecnología Médica (ANMAT) de la Argentina, los barbijos son productos de polipropileno (PP). La estructura textil producida por entrelazado de fibras y/o filamentos continuos consolidados por medios mecánicos, químicos, térmicos o sus combinaciones y según los gramos de entretejidos, se define su utilidad y tipo de barbijo. En salud se clasifican en tres tipos: -Clase I: de dos capas (uso de sala general) no resistentes a salpicaduras, descartables; -Clase II: de tres capas no resistente a salpicaduras; -Clase III: de tres o cuatro capas (tipo N95) descartables, fabricados con materiales que retienen partículas ultrafinas con un peso de 60 gr y son resistentes a salpicaduras OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y recomendaciones de organismos de salud pública acerca de la utilización de barbijos y protectores faciales para la prevención y control del COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas y guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes sistemas de salud. RESULTADOS: Se incluyeron una RS, un ECA, dos estudios experimentales y siete recomendaciones de organismos internacionales, ministerios y sociedades científicas acerca de la utilización de barbijos y máscaras de protección facial en la población general en la pandemia por COVID-19. CONCLUSIONES: No se encontró evidencia directa sobre la efectividad del uso de barbijos caseros en la población general para la reducción de la transmisión de COVID-19, pero podría inferirse cierta eficacia basada en evidencia indirecta de baja calidad. Evidencia de baja calidad proveniente de metaanálisis de estudios observacionales sugiere que el uso de barbijos médicos o profesionales disminuiría la transmisión de COVID-19 en la población general. Evidencia indirecta de muy baja calidad sugiere que la utilización de protectores o escudos faciales en la población general reduciría la transmisión de infecciones respiratorias. Los centros europeos y estadounidense para el control y prevención de enfermedades, la Organización Mundial de la salud y el ministerio de salud de Argentina recomiendan la utilización de barbijos caseros en la comunidad como una medida adicional complementaria al distanciamiento social y al lavado de manos, que adquieren más importancia cuando se visitan espacios cerrados y concurridos como centros comerciales o el transporte público. Existe consenso en la recomendación de utilización de máscaras protectoras faciales dentro del equipo de protección personal del personal de salud, aunque esta intervención no es considerada en muchas de las recomendaciones para la población general. La OMS recomienda la utilización de máscaras protectoras faciales como una alternativa válida a los barbijos como medida adicional a las medidas de distanciamiento social recomendadas.


Subject(s)
Pneumonia, Viral/prevention & control , Coronavirus Infections/prevention & control , Masks/standards , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation , Cost-Benefit Analysis
20.
s.l; s.n; 10 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1116535

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: En epidemias de enfermedades altamente infecciosas como el COVID-19, de transmisión por vía aérea, a través de gotas expulsadas por la boca, estornudos o tos de la persona infectada, los trabajadores de la salud tienen un riesgo mayor de infección que la población en general, debido a su contacto con fluidos corporales y aerosoles generados por los pacientes4 5. Los contagios al personal de salud reducen la capacidad de respuesta ante la pandemia, una respuesta que ya de por si se ve superada en la mayoría de los países afectados. También existe una importante potencialidad de que el personal de salud disemine la enfermedad contagiando a pacientes6 7 . Se estima que un 40% de los contagios ocurridos en Wuhan fueron de origen hospitalario. La existencia de un porcentaje que podría llegar a ser de hasta un 50%, de portadores asintomáticos con capacidad de contagio9, preocupa al momento de planificar la atención quirúrgica. Se ha publicado una gran cantidad de información acerca de la protección del personal de salud y específicamente la protección del personal de quirófano, y los protocolos de estudio al personal de salud y pacientes, con evidencia de confianza variable y con considerable incertidumbre en los efectos, costos y factibilidad de llevar adelante. METODOLOGÍA: Un equipo multidisciplinario sin conflictos de interés realizó una búsqueda bibliográfica no sistemática, clasificó y analizó la evidencia disponible. Priorizó Revisiones Sistemáticas, Guías de Práctica Clínica basadas en la evidencia y recomendaciones de OMS-OPS y el Ministerio de Salud de Argentina y otros países. RESULTADOS: A la hora de evaluar el uso de elementos de protección personal, el Ministerio de Salud de la Nación Argentina en su documento "Recomendaciones para el uso de EPP"10 establece para el personal de salud (sin hacer distinciones sobre personal de quirófano) el uso de barbijo común o quirúrgico al estar en contacto con un paciente que padece COVID-19 o que sea sospechoso. La Guía de Nación hace mención al uso de barbijo N95 solo en procesos que generen aerosolización. El Ministerio de Salud de Chile recomienda el uso de barbijo quirúrgico o máscara N95 para el personal de salud que se encuentre en contacto con paciente confirmado o sospechoso. Un panel sugiere el uso de N95 en procedimientos que generan aerosoles. El Colegio Americano de cirujanos12 establece consideraciones para el personal de quirófano: Utilizar EPP para cada procedimiento quirúrgico realizado en un paciente con infección confirmada por COVID-19 o un paciente donde hay sospecha de infección. Se debe usar respiradores N95 cuando se realice un procedimiento de generación de aerosoles (por ejemplo, intubación orotraqueal) del paciente infectado o sospechoso de COVID-19. Al abordar las intervenciones físicas existe evidencia indirecta, proveniente de estudios realizados en SARS13 14 en el brote del año 2005 que muestran que el uso de intervenciones físicas como camisolín, barbijo quirúrgico, lavado de manos antes y después de los procedimientos y el contacto con el paciente previenen la diseminación de enfermedades virales en el personal de salud. Al analizar el uso de doble guante no se encontraron estudios comparativos que evaluaran el uso de doble par de guantes versus un sólo par de guantes para disminuir las tasas de infección. Se analizó el riesgo teórico de transferencia de organismos desde el EPP contaminado a las manos después de quitarse los guantes o la ropa contaminados que pueden contribuir a mayor riesgo de infección. Sobre el uso de cobertores de calzado, no hubo estudios que evaluaran las cubiertas de zapatos como parte de la transmisión de COVID-19. Ong15 et al hisoparon calzados de 30 personas que habían salido de la habitación de infectados por COVID-19. Sólo un hisopo dio positivo. Es razonable respaldar el uso de cubiertas para zapatos cuando existe la probabilidad de riesgo por salpicaduras de fluidos que pueden contener patógenos. CONCLUSIONES Y RECOMENDACIONES: El uso de intervenciones físicas tales como los métodos de barrera (camisolines, guantes, antiparras y barbijo quirúrgico) asociado con el lavado de manos frecuente, se asocia a reducción de la propagación de enfermedades virales en el personal de salud. Para procedimientos que no generen aerosoles e impliquen la atención de pacientes es apropiado el uso de barbijo tipo quirúrgico. La mascarilla N95 podría ser beneficiosa en el personal que realiza procedimientos que favorecen la aerosolización del virus, tales como traqueostomía, ventilación manual con bolsa de autoinsuflación previo a la intubación o ventilación mecánica no invasiva, y aquellos procedimientos odontológicos (ver Tabla 5: procesos generadores de aerosoles). No existe evidencia que avale el uso de doble par de guantes en la realización de procedimientos en forma independiente del lavado de manos antes y después de cada procedimiento relacionado con el paciente. Se recomienda el uso de cobertores de calzado en áreas que exista riesgo de salpicaduras con fluidos corporales (quirófano, realización de procedimientos, unidades cerradas, shock room). Se recomienda al personal de salud que asiste casos confirmados o sospechosos de Covid-19 y realiza procedimientos generadores de aerosoles utilicen máscaras N95 durante la realización de los mismos. El testeo, previo a una cirugía, del paciente puede ser evaluado en escenarios en los que existe disponibilidad de la determinación, tendiendo en cuenta la etapa de penetración de la enfermedad en la comunidad. Se debe tener en cuenta el testeo de pacientes quirúrgicos de acuerdo a complejidad de cirugía, evitando que el retraso causado por la prueba resulte en daño para el paciente. Se recomienda un entrenamiento periódico y adecuado en el correcto uso de los elementos de protección personal. Esta recomendación se fundamenta en estudios16 17 que han demostrado que un entrenamiento inapropiado o insuficiente en el correcto uso de los EPP se asocia fuertemente con un incremento de la transmisión viral.


Subject(s)
Humans , Respiratory Protective Devices/standards , Surgical Procedures, Operative/standards , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/transmission , Personal Protective Equipment/standards , Masks/standards , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation , Cost-Benefit Analysis
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